La notion de Qualité de l'Air Intérieur (QAI) devient essentielle pour les usagers, pendant ces périodes compliquées de pandémie mondiale liée à la COVID 19.

On passe plus de 80% de notre temps dans des lieux clos, pour la majeure partie de ce score figure l'habitation et le lieu de travail.

Un rapport du Sénat chiffre le cout induit du non contrôle de la QAI à 19 Milliards d'Euros.

Pourtant la règlementation liée à la ventilation date en gros des années 1980, pendant une vie professionnelle la règlementation a réduit drastiquement les consommations énergétiques quasiment à zéro, mais pendant cette même vie professionnelle la ventilation des locaux n'a quasiment pas changée.

Plus grave encore, on parle tous les jours de réchauffement climatique, de pollution de l'air avec un affichage centralisé mais rien pour les résidentiel et tertiaire. Des applications sur nos smartphone nous indique en instantannée la valeur de la Qualité de l'Air extérieur par un indice ATMO ou IQA, mais qu'en est il alors à l'intérieur des bâtiments ?

Le législateur s'occupe de savoir quel type de véhicule peut accéder à tel lieu à tel moment mais ne semble pas s'intéresse à améliorer le confort et la santé des usagers de ce lieu quand ils sont dans une enceinte privée ?

Le nouvelle règlementation RE2020 ne prévoit pas de contrainte complémentaire à l'instant T sur la ventilation ni sur la QAI.

Seuls quelques labels intègrent un volet QAI parmi un ensemble de préconisations propices au confort des usagers.

Pourtant le législateur impose des contraintes spécifiques sur les ERP (Etablissements Recevant du Public), les écoles lycées etc. ....

Pourtant le législateur impose des mesures dites barrières dont le port d'un masque avec des exigences variables ….

Ne serait-il pas intéressant d'envisager dès aujourd'hui, sans même attendre la règlementation des bâtiments plus vertueux concernant la QAI.

Ne serait-il pas primordial de mesurer en continue cette Qualité de l'Air Intérieur ?

Des solutions existent et nous sommes à votre disposition pour apporter à vos bâtiments existants ou à venir notre savoir-faire en la matière, le surcout éventuel n’est pas à l’échelle de la valeur.

Ne faut-il pas être pionnier et concret, ce n’est peut-être pas ce qui évitera des pandémies à l’avenir mais cela contribuera sans aucun doute à l’amélioration de la santé des usagers de ces bâtiments d’un nouveau type, cela minimisera leurs risques.

C’est sans doute notre première contribution pour faire notre part pour les générations futures.

Merci de votre attention et de votre intérêt.

Eric Charles COSTE